La Saeima adopte les amendements à la loi sur la chasse

(11.11.2021.)

Jeudi 11 novembre, la Saeima a soutenu, en lecture finale, les amendements à la loi sur la chasse; ceux-ci précisent les surfaces minimales, nécessaires pour l’enregistrement des lots de chasse.

Dorénavant, le titulaire d’un droit de chasse ne pourra enregistrer son lot de chasse qu’à condition que ses surfaces de chasse soient d’une superficie d’au moins 350 hectares. La même règle s’appliquera également aux titulaires du droit de chasse, dont les terrains de chasse se trouvent l’un à côté de l’autre, et qui ont conclu un contrat mutuel d’utilisation commune de leurs droits de chasse.      

Lorsque le lot de chasse est enregistré par un détenteur du droit de chasse, les superficies de chasse devront être au moins 1000 hectare.   

Par ailleurs, les terrains de chasse au sanglier et au chevreuil sont étendus. Dorénavant, ces surfaces devront être au moins 350 hectares, jusqu’à présent leur superficie était de 200 hectares.

Les amendements prévoient que la chasse aux animaux sauvages sera dorénavant autorisée en ville, dans les lieux où l’administration locale autorise à la faire dans les cas où les animaux à chasser représentent une menace pour l’ordre public ou provoquent des dégâts.   

Aux exceptions actuelles s’ajoute l’autorisation de chasser dans les lots non-enregistrés, lorsqu’un animal blessé est poursuivi sur le terrain d’autrui.

Les amendements prévoient l’autorisation des détecteurs thermiques pendant les heures d’obscurité, lors de la chasse au sanglier, au renard et au raton laveur.   

 

Service de presse de la Saeima

Sestdien, 23.novembrī